Aïe... Reprendre le travail d'autrui à son compte, ça ne se fait pas. C'est même moralement grave...
Je comprends ta colère ! Elle a quel âge ta journaliste ?
Et comment as-tu procédé pour la recruter ? Je veux dire, tu as testé ses connaissances et aptitudes avant de lui donner un tel poste ?

Dans tous les cas, il va falloir que tu aies une conversation honnête avec elle, là...

Elle à mon age 22ans ... et j'ai l'impression d'avoir affaire à quelqu'un de 14ans alors que je suis loin d'être mature >.<
je lui est dis de changer, elle ne la toujours pas fait, je lui laisse une dernière chance (je lui en est déjà donnée 2) et si ça change toujours pas je me démerde toute seule !

oh, c'est vrai que pour l'interview de Guru je te comprends que c'était pas super en fait d'avoir fait ça comme elle l'a fait...

je savais pas que c'était si pire tous les jours...

plus je voyais ça et plus je me demandais, mais fait-elle approuver son contenu et ses articles par Error avant?

elle m'en à montré un qu'elle na pas posté, et déjà je lui est dit que ça aller pas, c'était trop large et trop flou (j'arrive pas à lire ses trucs tellement c'est flou et que j'ai de mauvais yeux) je lui est donc donné un modèle qu'elle ne respect pas ...

ah bien là, elle doit respecter tes demandes et tes conseils quand même....

tu devrais exiger ton approbation pour poster les articles...

Sur le coup, à te lire, je me suis dit que c'était peut-être une très jeune-fille qui tâtonnait à trouver ses marques dans sa nouvelle fonction (ce n'est pas toujours aisé, je pense, au départ) et avait "juste" fait une grosse gaffe en toute insouciance... Mais non. Ce n'est plus une gamine. Elle est censée avoir un minimum conscience de ce qu'elle fait quand même à cet âge. M'enfin, ça dépend des gens en fait... Quand on voit notre Benji ou AK à certaines heures, s'ils n'avaient pas renseigné leurs âges, on ne pourrait pas forcément se figurer que ce sont des ados. D'ailleurs, j'ai tendance à l'oublier et par là-même j'ai parfois commis des maladresses avec AK...

Pour en revenir au cas précis, je rejoins Gabrielle. Au moins au début, il faut que tu aies le contrôle sur le contenu qui est publié dans ce contexte journalistique. Ne serait-ce que pour te protéger parce-que si quelqu'un vient se plaindre de plagiat ou assimilé, tu devras en assumer la responsabilité, au titre de fondatrice. Donc sois prudente quand même.

elle à une partie à elle sur le forum pour me montrer ce qu'elle fait, mais ... nop ça passe à la trappe...

je lui est dit pour l'article interview :

voila la conversation :

ERROR : juste une petite question, c'est toi qui à posé les questions, où c'est un copier coller ?
IrisWest : Merci les filles , j'ai remanié à ma sauce
ERROR : alors évite de faire ça, dis que tu as pris sur tel truc et tout, j'ai pas envie d'avoir des soucis comme quoi on prend des choses qui ne nous appartiennent pas
IrisWest : ... ok


et c'est tout u_u donc la je vais tout rattraper, mais la prochaine fois c'est mort

Aïe... Elle est partie ?!

(Oui, mine de rien, je le feuillette régulièrement ton forum...)

yep elle est partie, mais j'en est trouvais une nouvelle, elle n'a pas les sims mais ça ne la gène pas, elle je la connais d'un autre forum (pas sims) où elle est aussi journaliste dessus, donc normalement il n'y auras pas de soucis (j'espère) mais je vais moi aussi faire ma journaliste pour le coup, suivre sur twitter, facebook et compagnie x)

Salut les gens
Désolé de pas avoir été trop présent et surtout de revenir pour l'exutoire mais j'en ai besoin un peu

J'en suis à ce sentiment bizarre de vide, d'angoisse que je ne saurais d'écrire plus. Je viens de recevoir la lettre recommandée qui m'annonce que ma période d'essai n'a pas été concluante et donc, que je ne serais pas embauché. Au final, je vais regagner ma liberté, ma tranquillité que j'avais perdu plus tôt. C'est ce que j'essaie de me dire. J'aurais un dernier salaire et ce sera fini. Fini les frites, les poubelles, le stress. Mais je ne sais pas comment je vais faire pour venir au travail pour les deux prochaines semaines précédant ma fin de contrat et continuer à travailler, sans tout envoyer chier. De toutes manière, mon contrat est fini. Qu'est-ce que ça peut faire si je ne viens plus.
Je sais qu'on peut même raccourcir cette période entre l'annonce et la rupture du contrat d'un commun accord entre l'employeur et le salarié, mais j'ai besoin des quelques € que ces deux semaines vont me rapporter. Après tout, je n'ai plus d'argent. Tout le pécule que je devais amasser pour mes études va finalement se limiter à 1000€ à peine, sans oublier que je songe sérieusement à m'acheter un appareil photo (entre 400 et 600€, quitte à balancer du fric autant avoir de la qualité). C'est une dangereuse fuite en avant mais c'était dans mes projets depuis quelques temps déjà.

Dans un sens, c'est pas si mal car ça va tomber plus ou moins vers mon examen du permis. Si d'ici deux semaines je n'aurais pas réussi à caser plus d'heures de conduite pour me préparer, là j'aurais champ libre. Et si j'obtiens mon permis, j'aurais un coup de boost moral. Par contre, si je le foire, je me sentirais doublement mieux. Génial. Je vais péter la joie.

Je crois que j'écris tout ça pour distraire mon cerveau de ses sentiments. Je ne me sens pas assez bien. Je contrebalance avec quelque chose que je semble savoir faire, écrire. Mais ce sentiment est difficilement descriptible. Je suis vide et angoissé. Mais aucune autre émotion. Je n'arrive pas à mettre le doigt dessus. Je ne suis même pas triste, j'ai juste... peur aussi. Du regard des autres. Des gossips. De ce que l'on dit, et ne dit pas. Et je me dis que c'est peut-être de ma faute.

En effet, mercredi, en comptant ma caisse, je pestais tout seul contre un équipier qui me soûlait. En fait j'étais pas seul et je me suis foutu la honte de ma vie. La comptable m'a dit que fallait pas me mettre dans un état pareil, qu'il fallait séparer vie privée et au travail, ect... Mais j'ai peur qu'ils aient perçu ça comme un manque de contrôle, sur la gestion du stress notamment. Après je me trompe peut-être, une manager m'avait déjà averti qu'ils ne me trouvaient pas à la hauteur. Pourtant je ne me trouve pas moins bon qu'un autre. Mais tant pis. Faut juste que je digère la nouvelle. Je sens qu'une bonne replongée dans le monde des mangas, animés et jeux vidéos va se faire sentir, au grand désespoir de mes parents.

J'ai l'impression d'être un jour d'automne-hiver. Pas tout à fait en hiver, pas tout à fait en automne. En suspension entre les deux. Ces jours où il n'y a ni soleil ni ciel ni nuage. Juste un voile brumeux blanc qui recouvre tout les horizons et qui nous baigne d'une lumière diffuse sans ombre. Un jour neutre. Vide de météo (même si c'est une météo en soi). Je me sens vide comme ces jours.

Je continue à déjouer mon cerveau avec mon lyrisme littéraire. Je ne sais même pas si je suis bon à ça, si j'ai mon propre style et s'il est appréciable ou apprécié. J'aimerais avoir un appareil pour pouvoir faire des vidéos. J'y pense depuis quelques temps, mais je ne suis pas sûr de ce que je voudrais faire. J'aimerais juste parler devant une caméra et exposer mon avis, comme s'il important plus que celui simplement écrit en commentaire. Quel égocentrisme ! Le problème, c'est que ces vidéos ne suivront aucun fil, aucune logique. Je pourrais parler d'appareils photos puis la vidéo d'après, parler de la structure des barrages de Nouvelle-Calédonie (surprise, même sur des îles tropicales, il y a des barrages ! Eh oui, elles sont assez grandes pour. Bref.) Je ne sais pas si je le ferais. Si même je peux apprendre quelque chose au monde. Ou au moins le faire rire. Je pense rechercher ma valeur dans le regard des autres à travers ce projet, et ça pourrait aussi bien me faire mal. C'est un pari.

Et puis viendront les oraux des écoles d'architecture. C'est la seule bonne nouvelle qui pourra me redonner totalement le sourire : m'annoncer que je suis pris dans une école. Que j'ai une chance. Que peut-être je serais admis. Que peut-être, je partirais pour Nantes. Mais je sais que mes chances sont minces et que je risque surtout de ressentir le sentiment d'aujourd'hui, mais avec une intensité destructrice. Ce jour là, je m'enfermerais dans ma chambre et je dissuaderais mon cerveau de penser à ma vie. Je regarderais toutes les séries, lirais tout les livres et jouerais à tout les jeux vidéos jusqu'à que mon cerveau se décompose, court-circuité par les œillères que je me serais imposé. Ma vie n'existera plus pendant un temps. Je ne serais personne et ce sera nécessaire si je veux garder une santé mentale acceptable.
Mais espérons que ça n'arrive pas. J'aimerais tellement fuir ma vie, ma ville, ma famille et poursuivre mes rêves et mes études loin d'ici.
Recommencer.
Avoir une seconde chance.

edit : WAH LE PAVE. J'avais pas du tout remarqué... Bon, bah qui m'aime me lise ! (tiens, elle est pas mal cette phrase... Je crois ce sera ma signature si je me met à écrire des fanfics matoine. Ouais j'aime les fics matoine, J'AI HONTE HAHAHA) (le mec qui passe d'un texte empreint de lyrisme à un edit pourri. Et oui, les deux se sont suivis immédiatement, j'ai posté puis immédiatement édité en voyant la longueur du texte. Bon j'arrête, je ne fais qu'allonger ce terrible pavé)
Sérieusement, merci si vous avez pris la peine de lire et encore plus si vous prenez la peine de répondre. Et c'est pas grave si vous avez pas lu, je ne vous en veux pas, c'est normal :')

J'ai lu. Tout.
Je compatis. A tout.

Mais j'avoue que je vomis.
Tout. Aussi.
Édit au lendemain: Enfin, je ne parle pas de toi et ton propos Iro, hein !
Juste que je ne suis pas en prédisposition d'esprit pour soutenir autrui.

C'est un soir de gerbe pour moi.

Attention, trash et vulgaire est ce qui suit:

* Pour mémoire:

Édit au lendemain : Désolée, mon propos est un peu violent et je n'ai pas eu la présence d'esprit de le mettre sous un spoiler l'avertissant. Bien que sur le tard, c'est chose faite.

J'ai pas été pris à Nantes.
J'ai passé 2 heures à essayer de réparer mon portable qui avait un problème de chargement, en me foutant des réponses qui me disaient "c'est peut-être un problème de câble" car j'avais testé avec d'autres chargeurs et ça marchait toujours pas. J'ai fouillé internet pour des applications qu'on trouve difficilement aujourd'hui. Tout ça pour découvrir que c'était MON câble qui était défectueux, mais pas le chargeur (l'embout prise murale est séparé du câble).

Journée de la joie chez moi.

raz le cul d'être jalouse comme je le suis ! j'ai encore pété un cable hier soir u_u
parfois j'ai envie de me foutre des baffes dans la gueule !

Pardon.

Pour tout ce que j'ai fait, (de) mal.
Pour tout ce que je n'ai pas fait, manquant à mes paroles.
Pour ce que je vous ai contraints à endurer, à mes plus sombres heures.

... La liste est trop longue, en fait.
Je merde sur tous les plans depuis quelque temps.
C'est qu'à la vérité, rien ne va plus pour et chez moi en ce moment.

'Fin, depuis environ deux années bien vides pleines merdiques.
'Fin, à la vérité vraie, j'en suis rendue à me dire que...
Ce serait une belle nuit pour mourir là, en clair.

Comme celles d'hier, d'avant-hier...
Ou celle de mes quarante-deux printemps. *Ah ! Ah ! Surtout celle-ci... L'hypocrisie étant à son comble !*
Comme celles de demain et ses lendemains, sans doute...

Mais, en réalité, n'en déplaise à ceux qui brandissent que le suicide est un acte lâche...
Mourir par soi-même, ses propres moyens, ce n'est pas si facile.
Il en faut un putain de satané courage pour se tuer !

Que malheureusement, je n'ai pas eu encore ce soir...
Et pour ça aussi, car par conséquent...
M'endurerez-vous encore.

Pardon.

Au coin du feu, ces derniers jours ;

Loba a écrit:

[...] Pour ma part, je vais être honnête.
Je suis retombée dans une déprime sévère là.
Du coup, je n'ai goût à rien ni envie de rien.

Akhmhana a écrit:

Que se passe-t-il ?

missgabrielle a écrit:

[...] Loba j'espère que tu vas un peu mieux

AK, j'en ai un peu parlé au coin du feu mais absent, tu as dû passer à côté. Dans tous les cas, je crois qu'au regard de la gravité des choses et de mon état actuel, je ferais mieux de remettre le couvert ici (dans l’Exutoire). Pour résumer, entre Lobo et moi, tout est parti en couilles ces deux dernières années jusqu'à atteindre un violent point de non-retour depuis un an. Tant et si bien que nous avons fini par nous séparer, il y a tout juste deux mois, au lendemain de nos vingt-et-un ans de mariage. Et putain, je n'arrive pas à vivre avec l'idée que c'est mieux ainsi, même si je sais au fond de moi que ça l'est... Ni avec le vide qu'il a laissé, que rien ni personne ne peut combler...

Du reste, nous l'avons fait avec la volonté ferme et partagée de ne pas nous déchirer et de préserver notre amitié. Parce-que nous n'étions pas seulement un couple. Nous étions aussi les meilleurs amis du monde, comme nous l'avons été pendant longtemps avant de tomber amoureux. Mais si cela s'annonçait bien les premières semaines, au fil du temps et sous le poids de tout ce que notre séparation engendre autour (annonces aux autres et réactions, pressions financières et locatives...), sans compter que nos problèmes personnels n'étant pas réglés, ils ressortent parfois... Bref, il s'avère extrêmement compliqué de ne pas se foutre sur la gueule... Même juste un peu, de-ci de-là. Je me contiens pour ne pas exploser quand il me pique mais supporter ça, c'est au-dessus de mes forces.

Et comme si ça ne suffisait pas, il faut que je trouve un logement de toute urgence. Sauf que je me retrouve au RSA et avec des problèmes de santé assez lourds, au-delà de mon état moral. Pour couronner le tout avec une gueule et un nom d'arabe, dans un pays facho et capitaliste... Quand je pense que je n'ai pas craché à la tronche d'un proprio qui m'a demandé "ma race" (textuellement), mon mode de vie et mes coutumes alimentaires en me tapant un speech sur sa baignoire neuve (comme si j'allais y égorger un mouton, en clair, quoi ?! Le cliché de merde). Et de ceux qui sont ouverts jusqu'à ce qu'ils me voient ou que je leur dise mon nom... Putain, j'accumule les échecs de ce côté-là et la politesse, je commence à avoir envie de me torcher le cul avec et la leur faire bouffer !

Tous les piliers de mon existence se sont écroulés, là. Le journal pour lequel je bossais comme une esclave depuis plus d'une décennie m'a traitée comme une moins que rien, sans doute pour me pousser vers la sortie, que j'ai fini par franchir du dégoût plein les babines pour ce métier/milieu. Puis, peu après, alors que déjà ça m'avait mis un sérieux coup, c'est ma compagne dogue-allemande qui est morte dans des conditions insupportables, impardonnables... Putain, ce fut le coup fatal et ne m'en remettant pas, voilà que Lobo a fendu les plombs et s'est mis à me mépriser davantage que m'aimer, pour peu qu'il m'aimât vraiment encore... Le coup de grâce ! Mais non, même pas, il ne m'a pas tuée. C'eût été trop facile. Non, je suis encore vivante et consciente qu'après tout ça, la perspective de devoir retourner chez mes parents se profile comme ma seule alternative à la rue...

Alors Gabi, franchement non, je ne vais pas mieux. Ces dernières semaines, j'ai mis tellement d'énergie à me battre pour ne pas céder au désespoir absolu si profond qui m'aimante. J'ai essayé de garder un regard positif sur ma vie, de me convaincre que tout peut arriver demain, pas seulement le pire, du mieux aussi... Tous les jours, à chaque instant, je me suis raccrochée à des p'tits riens pour respirer un peu, pour juste ne pas tomber plus bas.

Mais je n'en peux plus là.
Je suis en train de lâcher prise... Grave !

Même si une part de moi "résiste" encore, elle ne pèse pas bien lourd... Parce-que c'est "juste" ma part camée.
Comme ce soir, c'est elle qui a mis de l'alcool dans plus que trois verres, fait vibrer fort de la musique, m'a poussée à chanter et danser, avant de jeter mes mains sur le clavier pour écrire ces lignes...

C'est elle aussi qui va vous proposer deux nouveaux défis, cette nuit ou la prochaine, ou celle d'après...
Je ne sais pas, je pleure jusqu'à sécheresse qui ne vient pas, j'ai des flashs sanguinolents quand je regarde ce couteau de chasse affûté à côté de mon verre, c'était mon précédent compagnon qui me l'avait offert pour me défendre, celui qui s'est pendu. Et en même temps, je danse sur ma chaise en écoutant HK et je n'ai pas le courage de me planter cette lame dans la carotide... Quand je la presse sur ma peau, je pense à mon viol, mon père, ma mère, mon frère, mon chien, vous... Mauvais plan suicide.

Putain, qu'est-ce que je fous en ce monde bordel !?
C'est elle aussi qui (me) répond, très objectivement, que si je suis encore là, c'est surtout parce-que je n'ai (toujours) pas les couilles de me foutre en l'air. Mais dans le fond, si je ne passe pas à l'acte, c'est seulement parce-que je n'ai pas le courage ou parce-que je ne le veux pas vraiment ? Suffit-il de vouloir mourir pour pouvoir se suicider ?
Oui, je crois, pourtant...

Mais alors pourquoi ? Pourquoi je ne prends pas ma bagnole pour aller en ville et faire le saut de l'ange du haut d'une tour ?
C'est le moins barbare pour moi, c'est mon trip final même... Et sans ratage possible.
Mon père, ma mère, mon frère, mon chien, vous... Est-ce réellement tout ce qui me retient ?

Et Lobo alors ? ... ... ... ... ... Parce-que, putain, larguer quelqu'un qui est par terre et qui finit par se tuer, je sais ce que ça fait, ce que ça détruit à jamais en dedans... Mais... S'il avait levé les voiles sur tous mes brouillards ? S'il m'avait éclairée sur ce que Loïc (il s'appelait Loïc, mon précédent compagnon qui s'est pendu) a vécu ? Si c'était ma "punition" pour l'avoir abandonné alors que j'étais sa seule raison de vivre et qu'il était aux prises de l'alcool, -sa façon de supporter ses maux, ce que la gamine de seize/dix-sept ans que j'étais n'a alors pas vu ou voulu voir- ? Hein ? Et si, à son tour, il "fallait" que Lobo soit confronté au paradoxe entre ses idées/discours et ses actes ?  S'il fallait que je meure pour qu'il comprenne, voire s'accomplisse, lui aussi ? Parce-que moi, je ne suis même pas une merde, comme je le dis souvent la merde fertilise la terre, moi, je ne fertilise plus rien. Mais lui...

Je ne sais pas. Je ne sais plus... Rien. Si ce n'est que je suis au fond d'un trou noir qui m'a l'air sans fond, en train de picoler trop comme une alcoolique (dé)livrée à la solitude, de chialer des litres et que je ne m'écorche plus les petons que sur des vestiges vertigineux de bris qui aient encore un sens, tandis que ma vie n'en a plus guère aucun.

Édit ;

En écoutant une chanson qui dit (en espagnol) :
Ne te laisse pas mourir lentement,
N'oublie pas d'être heureux,
Vis aujourd'hui !

Putain...

Gros câlin entouré de coton !

Quand cette

Spoiler:

voir

Spoiler:

a envie d'être merdique (de qui je parle... ?), elle sait bien s'y prendre la garce.

Certains diront... nous en sommes responsable.

EUH NAN PAS D'ACCORD, quand tu t'efforces d'avoir un minimum de contrôle en faisant bien les choses et que tu reçois plus de briques dans la gueule que prévu bah... tu chiales et tu t'enfonces...

MAIS... j'ai toujours eu un gros mal de coeur et la boule à la gorge en imaginant mes proches chialer à ma mort...
Reste à se poser les bonnes questions : Qu'est-ce que je veux -> Je ne peux pas l'avoir -> Je m'oxygène, je me défoule même si j'en ai pas envie, le psychisme défonce tout ! -> Qu'est-ce que je veux ? -> Je veux ça -> Je fais ça -> Je m'oxygène... Je reconstruit ce que j'ai perdu en étant confiant.

Xaon, je t'avoue sécher à ta première et primordiale "bonne" question...
Je ne sais pas vraiment ce que je veux, là...
Si ce n'est... Crever !

*Ce à quoi je lève mon énième verre et appelle tous les dieux et démons, putain... !!! * -Mon âme n'intéresse donc aucune divinité ni.... Aucun commun mortel ?!-

D'un coup, d'un seul et pour de vrai, mais la putain de noires serpillères vêtue n'entend même pas ma "prière" cette salope...
Elle ne m'achèvera donc que quand je ne serai plus debout ?

Putain, même dans ma tombe je ne me coucherai jamais.
Jamais. Devant rien, ni personne. Jamais.

Édit ;
Alors, c'est "seulement" ça qui me (re)tient ? Depuis ma naissance !?
Sans déc', Fanny, si j'étais encore une "investigatrice de choc", je bondirais là-dessus...

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M'oxygéner...  D'accord, mais à quoi ?
Reconstruire ce que j'ai perdu, en étant confiant/e... Confiante envers des débris ? Et reconstruire sur les décombres de mes pertes ?

Sans t'offenser, je ne pourrai plus placer entière confiance en personne ni reconstruire quoi que ce soit sur mes ruines.
C'est fini pour moi. Je suis trop vieille ou je n'ai plus assez de temps devant moi ni d'entrain, au choix.
C'est fini pour moi. Fini.

Je vais finir toute seule avec mon clébard.
Et il n'y a vraiment pas de vie avant la mort pour une loba...
Un point c'est tout.

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Putain, c'est trop bizarre...
J'ai laissé tourner en boucle ma playlist et c'est précisément la même chanson qui 'tombe'...

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Merci pour ton crachat contre ce/ceux qui éteint/éteignent les étoiles, Xaon.

Je vais me faire défoncer mais rien à foutre vu les circonstances :

- Tu manges quoi ? (manger, pas un juste un biscuit genre c'est bon c'est passé tu fait chier merde) y'a moyen de bien se péter le bide en végé, je ne le suis pas, mais du riz/lentilles oignons tomates ça démonte et ça cale. Déjà rien que ça tu positive un peu. Je connais très cette chose, ces pensées noires quand j'ai l'estomac dans les talons. Bouffe ça tous les jours si il le faut.

- Vire-moi cet alcool de merde ! (sans plus de détail, mais comme la clope sous forme d'alcoolisme c'est chaud patate de couper net. Mais il te reste au moins la clope (et tu vas bouffer d'avantage c'est certain)

- La clope bon... je suis dans le même cas... Mais quand j'en ai pas pendant une journée ou deux (ça coûte cher cette merde et j'ai pas de taf...) je bouffe comme 1000 et je fais des trucs inhabituels (récurage baraque du sols au plafond, mais genre frotter les joints du carrelage avec une brosse à dent quoi...)

- Créer ! T'es super douée en écriture, y'a moyen d'être suivi et d'obtenir de la reconnaissance (hors milieu pro)

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Tu as parlée de problème de santé... tu peux en causer ici... ? Du coup je suis curieux

T'as le droit de me péter la gueule Loba, même lâcher ton chien, si si

--- p.s 08:29 ---
Je t'apprécie beaucoup Loba, ça fait trop chier de te voir dans cet état, merde !

Je déconne grave en ce moment, mais pas au point de défoncer la gueule de quelqu'un qui écoute les horreurs que je débite, essaie de m'aider et en plus me témoigne sa sympathie...

Manger un bon vrai repas bien nourrissant, c'est vrai que ça me ferait du bien et oui, c'est tout à fait possible de se régaler avec un plat végé ! D'ailleurs, quand je me suis retrouvée seule, il y a eu quelques semaines pendant lesquelles je n'arrêtais pas de me faire des pizzas et je dois bien avouer que je me sentais mieux globalement. En plus, on en parlait sur le forum et j'avais même commencé à en inventer des nouvelles pour vous. C'était sympa comme délire. Mais depuis quelque temps, je ne cuisine plus trop, faute d'en avoir l'entrain. Je ne mange pas des biscuits, je ne suis pas portée sur le sucré, en revanche tu n'es pas loin de la réalité, je ne grignote que des petits sandwichs le soir, juste histoire d'avaler un truc effectivement...

L'alcool, ça faisait longtemps que je n'en avais pas abusé. Enfin... Quatre mois mais pour moi, c'est déjà long de m'astreindre à trois verres d'apéro et une à deux bières par jour, grand max, pendant tout ce temps. Sachant qu'avant, j'en étais rendue à pouvoir m'avaler une bouteille de Vodka dans la soirée, sans compter mon tiers voire demi-litre de Ricard et petit pack de bières quotidiens... C'est quand même une sacrée victoire de parvenir à m'en tenir à cette limitation ! J'avais juste flanché deux soirs après le départ de Lobo. Et puis, cette nuit... Sauf que cette fois-ci, je suis sévèrement punie ! Non seulement, l'ivresse ne m'a pas soulagée du tout, mais en plus, mon corps qui n'est plus habitué à boire autant me l'a fait aussi durement payer qu'au lendemain de ma première cuite. Je me suis traînée des chiottes au lit et du lit aux chiottes en tremblotant, presque toute la journée. Et depuis qu'enfin j'ai réussi à me lever une bonne fois, je suis complètement amorphe, mais genre deux de tension, ce que je déteste. Du coup, je ne suis pas prête de refaire entorse à mon excellente résolution ! Mais pas prête non plus à stopper complètement... M'enfin, c'était peut-être ma dernière cuite là, je crois bien que je n'aime plus ça, en fait.

La clope, c'est pareil, j'ai diminué... Bon, moins drastiquement que l'alcool (juste un paquet de moins par semaine), parce-que c'est beaucoup plus dur (pour moi du moins) mais je ne me sens pas capable d'arrêter. Je peux ne pas boire une goutte d'alcool pendant un jour ou deux, en revanche, je ne peux pas en dire autant du tabac ! Moi aussi, j'ai un tout petit budget bien serré et c'est une dépense qui pèse effectivement très lourd mais je préfère n'avoir que des pâtes à manger et de l'eau à boire pourvu que j'aie de quoi fumer... C'est très con, je sais, m'enfin je pense que se détacher d'une drogue dépend pour beaucoup de la volonté (j'avoue n'en avoir que peu) et du moment aussi. Quand tout va mal, ce n'est pas le meilleur moment pour un sevrage. J'aimerais bien dans le fond me libérer de ces dépendances, ne serait-ce que pour ça, littéralement, mais ce serait trop pour moi actuellement. Il faudrait que je résolve mes autres problèmes avant de commencer à m'attaquer à ceux-là, quoi. Et puis bon, quand on doit s'enfiler une putain de dose de tartines de merde (comme dirait Niblette) tous les jours, on peut bien se permettre ces petits plaisirs, aussi empoisonnés soient-ils...

Sinon, tu viens chez moi quelques jours et on essaie d'arrêter ensemble, le temps que tu récures ma baraque du sol au plafond, joints de carrelage inclus ! *Sourire*

Quant à l'écriture, je te remercie pour l'appréciation et l'encouragement. Mais ma plume est en panne depuis quelques années. J'essaie de recommencer à écrire, ça me manque et puis, j'avais toujours exorcisé mes maux comme ça jusqu'à la mort de ma compagne dogue-allemande. Je ne sais pas pourquoi, je n'y arrive plus. Je voudrais écrire sur elle, j'en ai besoin même, mais je fais un blocage. Et quand j'essaie de créer une histoire de sims, qui serait un bon moyen de m'y remettre dans un délire plus léger, je sature très vite. Pas en terme d'idées, ça je n'en manque pas, mais très concrètement dans l'exercice d'écriture en lui-même. Donc dans l'immédiat, je laisse ces projets de côté.

En ce qui concerne mes problèmes de santé, j'en ai deux de longue date. Un handicapant, suite à une chute dans des escaliers qui m'a explosé l'axe du coccyx. Je souffre du bas du dos tout le temps depuis, ça fait seize ans. Après n'avoir pu marcher qu'avec des béquilles pendant sept ou huit ans, j'avais retrouvé une certaine mobilité, bien que toujours très réduite. Mais avec l'âge et ma sédentarité de ces dernières années, ça s'est empiré là. En ce moment, je fais beaucoup d'efforts pour torcher la maison alors la douleur est encore plus violente et parfois, je n'arrive plus à supporter. Tant la douleur permanente que les limites qu'elle m'impose. J'arrive à peine à laver les sols d'une pièce de trente mètres carrés, sans m'effondrer. Le second est un mystère, une saleté dans mon sang qui provoque de sérieuses infections (j'ai failli perdre un pied, une fois, par exemple) et agite le spectre d'une septicémie. Sinon, j'en ai un troisième plus récent qui pourrait s'avérer tout aussi grave, sinon plus parce-qu'il est logé dans mon crâne, mais son origine est délicate à raconter, je ne me sens pas encore prête à trop en parler... Je dois faire des examens plus approfondis prochainement. Je développerai peut-être le sujet à son issue.

Merci pour ton soutien Xaon, et tes secousses aussi !

Tout à l'heure, je regrettais un peu d'être venue me répandre comme ça, vous jeter à la gueule la violence de mes maux avec ces pulsions suicidaires (encore), mais finalement, ça m'a quand même fait du bien d'en parler un peu.

Merci à tous pour me supporter (encore aussi).

La douleur dans ces régions et insupportable et difficile à endormir.
Il y a un an et demi, pour une raison que j'ignore (Tiens, faudrait en parler de "ça".), j'ai vécu un curieux phénomène au réveil.

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Du sacrum jusqu'au cou, je ne pouvais plus bouger et j'hurlais parce que croyais perdre ma tête !
Une douleur comme je n'ai jamais ressenti; on m'a écarté le dos ??? J'en suis tombé dans les pommes.

- Putain bébé ça va pas go urgences
- Tu peux essayer de te lever ... ?
- J'attends que le cachetons agisse un peu, t'as brûlé de l’encens ?
- ...

Bref (elle émanait du matelas et du parquet, cette odeur - ? - c'est la première fois que j'en parle)

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Je comprends donc que c'est la merde pour toi avec le dos, c'est clair.

Déjà manger mieux et assez. Toi-même tu le dis, c'est la même pour tous.
Surtout d'éviter de survoler et de te poser sur un fait qui te ronge, faut penser à sa gueule quand même un moment donné et prendre soin de soit. Cessez de s'effacer et de vivre pour les autres (ça détruit une personne ça).

p.s : Pour la cuite c'est ignoble ces  tremblements, j'ai ça aussi quand je force trop...
Deux de tens, pataud... grosse limace et oui ça dure au moins une grosse partie de la journée.
dégager vite fait ça en lapant beaucoup de flotte.

Post à surveiller j'ai sûrement des choses à ajouter je n'ai pas répondu à tout.

Refuser un stage de rêve (qui va se proposer qu'une fois dans mes études) juste pour une putain de phobie !

Ah mince ! Il s'agit de quelle phobie, si c'est pas indiscret ?

La phobie des animaux

Elle te vient d'où, cette phobie ?
Et le stage était dans ce milieu-là, donc ? Il consistait en quoi ?

Depuis toute petite, et on ne sait pas ce qui l'a déclenché.
Oui c'était une association pour les animaux. Et il fallait carrément installer une comptabilité entière, ça aurait pu me faire aboutir à un contrat étudiant pour les vacances ...

(En attendant, j'ai réussi à trouver un stage quand même grâce à mon prof)