| Auteur | Message | missgabrielleExpert en Simologie Messages : 1952 Remerciements : 379 Date d'inscription : 29/10/2015 | Épisode 15 | | Épisode 15- Spoiler:
J'ai fais la grasse matinée jusqu'à 12h00. J'en avais besoin. À mon réveil, j'étais littéralement affamée. Je me suis préparé une salade. Ma paie avait été déposé, 520$.J'ai mangé ma salade.J'ai pris une bonne douche rafraîchissante.Puis, j'ai pris le métro pour aller voir le fameux Parc des Milliardaires.Quand je suis sortie du métro donnant sur le parc, j'étais ébahie. Le parc se divisait en quatre grandes zones et offraient de multiples activités.Il y avait une zone artistique, ou l'on pouvait jouer de la musique, tous les instruments y étaient, il y avait aussi des chevalets et des tables à dessins. Je me suis assise à l'une de ces tables à dessins et j'ai fait un croquis de mode.J'ai terminé mon croquis à la nuit tombée. J'avais esquissé une petite robe-salopette. Puis, je suis allée dans un autre secteur du parc. J'ai allumé un feu.J'ai aperçu un petit bar, j'y ai pris un verre.J'ai discuté avec le barman, il était gentil. Je lui ai parlé de mon désir d'être un jour une grande chanteuse. Il m'a encouragé à poursuivre mes rêves et à tout faire pour y arriver. Il m'a dit d'oser, de ne pas faire comme lui qui voulait être un grand magicien et qui n'a jamais osé et est resté barman. Un peu plus tard, j'ai enfilé mon maillot de bain et je suis entré dans le spa.C'était relaxant, j'y suis restée plus de 2 heures. Je repensais à la discussion que j'avais eu avec le barman, oui, un jour, j'allais être une grande chanteuse. Ce jour ne devait pas trop tarder puisque je souhaitais être une chanteuse au coeur de sa jeunesse, pas une chanteuse sur le tard. C'est lorsqu'on est jeune qu'on profite pleinement d'une carrière de chanteuse, qu'on a l'énergie, le charme, le sex-appeal, qu'on possède les atouts pour être enviée de tous et devenir une star. Je m'imaginais déjà me produisant dans les bars les plus réputés, dans des salles de spectacles bondées, avec une armée de serviteur pour entretenir ma fabuleuse propriété. Je me voyais, adorée de tous.
En sortant du spa, j'en vins à la conclusion qu'il fallait que je me mettes à la musique plus sérieusement dès les prochains jours. En fait, en sortant, je ne me suis pas sentie si relaxée que je ne l'avais d'abord cru, je ressentais plutôt une sorte de nervosité. Allais-je être à la hauteur de mes ambitions? J'ai eu l'envie d'ajouter un peu de folie dans cette nuit déjà avancée. J'ai chevauchée le taureau et je m'y suis accrochée autant que je l'ai pu. Me voilà au plus chaud de ma lutte avec le taureau. À ce moment, le barman m'observait d'un œil plein d'intérêt. Puis, j'ai aperçu une boîte à photo. Vous entrez et la machine prends quelques photographies de vous, c'est super! J'aurai un souvenir de ma première soirée au parc des milliardaire. Puis, j'ai joué une partie de skee-ball, c'était nouveau pour moi. C'est une sorte de sport d'adresse, où il faut lancer une boule dans le bon rayon pour augmenter son score. C'était amusant, mais j'ai encore besoin de pratique.Lorsque je suis rentrée à la caserne, il était plus de 5h00 du matin. J'avais passée toute la journée, la soirée et même la nuit au parc des milliardaires, il y avait tant à voir, tant à faire. Je n'avais jamais vu de tel parc avant, idyllique, à la limite du paradisiaque, rien n'y manque, ou presque. Rien de comparable avec les parcs de Sunset, là d'où je viens. Vous imaginez, si j'aurais écouté ma mère, je serais encore dans cette ville si banale qu'est Sunset Valley. Je me suis mise au lit le soleil s'apprêtait à faire son apparition.
Viendra l'épisode 16 suite à un commentaire Jeu 24 Déc 2015 - 17:48 |
| | | missgabrielleExpert en Simologie Messages : 1952 Remerciements : 379 Date d'inscription : 29/10/2015 | Épisode 16 | | Bon bien, je vous le met quand même... Épisode 16 - Spoiler:
À 11h00 du matin, je suis tirée de mon sommeil de façon brutale, au son de l'alarme. Je dormais si paisiblement que j'en avais oublié m'être couché à la caserne plutôt que chez moi, l'alarme stridente m'a rappelé assez vite où je me trouvais. Il y avait feu. J'ai glissée sur le poteau, j'étais encore toute endormie.J'ai enfilé mon uniforme de pompier. J'espérais que le feu ne serait pas trop difficile à contrôler. Je n'étais pas au meilleur de ma forme pour affronter les flammes, mais il me fallait remplir mon devoir. J'avais des responsabilités dont je devais m'acquitter. J'ai grimpé dans le camion pour me diriger sur les lieux du drame.Finalement, ce n'était qu'un petit feu résidentiel qui avais pris dans la cour extérieur. En quelques minutes, on ne voyait plus la lueur d'une flamme.Je suis rentrée à la caserne, soulagée de ne pas avoir eu à combattre le feu pendant des heures. Puis, j'ai procédé à l'entretien de l'alarme. C'est essentiel au bon fonctionnement, je ne peux pas la laisser en mauvaise état. Plus le pompier arrive tôt sur les lieux, plus il sauvera de vies et limitera les dégâts, c'est très important.Maintenant que je m'étais acquittée de mes tâches, je pouvais me permettre de prendre mon petit-déjeûner, un bol de céréale. Mon quart terminé, j'ai décidé de rentrer chez moi. J'avais besoin de me retrouver dans mes affaires, bien que je n'en possédais pas beaucoup. Je crois vraiment que je prends de la maturité, avant je redoutais au plus haut point de me retrouver seule. Maintenant je suis capable d'être seul avec moi-même, ça me permet de réfléchir à mon présent, à mon avenir et parfois un peu à mon passée. Ça me permet d'y voir plus claire dans les choix que je dois faire et de me consacrer un peu à l'étude et à mon développement. Je ne veux pas être une "cruche" , je veux exploiter mes capacités, maximiser mes compétences.
Tout en m'amusant, on s'entend, je veux vivre aussi de folie, d'amusement en tout genre. Il me faut un peu d'artifice et de soirée festives. Seulement, maintenant, j'essaie de doser entre un peu de sérieux et beaucoup de folie. Avant ce n'était qu'amusement et folie, voilà à quoi se résumait mon adolescence à Sunset. Pas une once de sérieux, j'étais connue pour mes frasques dans tous le quartier. On disait de moi que j'étais une fille délurée qui ne pensait qu'à faire la fête. Arrivée chez moi, j'ai dû payer mes factures, 31$. J'attends le moins possible avant de payer mes factures maintenant, après avoir eu la visite du huissier il y a quelques jours, je me suis dis que j'allais m'arranger pour qu'il ne revienne plus. Ensuite, j'ai ramassé les vieux journaux qui s'amoncelaient sur le terrain.Puis, j'ai pris une bonne douche pour enlever toute cette odeur de boucane et de feu.Après avoir affiché mon diplôme de baccalauréat, mes photographies de ma première journée au parc des milliardaires et mon premier croquis de mode, je me suis sentie encore plus chez moi. Ces choses représentaient le début de ma vie de jeune adulte.Avec mes maigres ressources financières, j'ai pu me payer mon premier ordinateur. On peut faire tant de choses avec un ordinateur, c'est rendu indispensable de nos jours. J'ai navigué quelques minutes sur le net, histoire de l'essayer et d'apprendre à me débrouiller avec les fonctionnalités.En fin de soirée, je me suis attaquée à la réparation de la chaîne hi-fi de Kyra. Elle l'attendait depuis déjà quelques jours et je ne pouvais pas la laisser sans musique plus longtemps, sachant à quel point elle aimait vivre au son de la musique.Le sommeil me gagna et je me blottis dans les bras de morphée. Mes dernières pensées allèrent à Grand-Père, grâce à lui, tout était possible. Dim 10 Jan 2016 - 22:53 |
| | | missgabrielleExpert en Simologie Messages : 1952 Remerciements : 379 Date d'inscription : 29/10/2015 | Épisode 17 | | Épisode 17- Spoiler:
À mon réveil, mon ventre criait désespérément famine. J'ai cassé quelques œufs et je me suis fais des pancakes.J'ai pris le temps de manger même si j'étais en retard au boulot.J'ai dû me rendre à la caserne en taxi. Au moins, j'avais le ventre plein. Je me croisais les doigts pour faire une entrée inaperçue. Je ne voulais surtout pas que mon arrivée tardive soit remarquée. J'ai tout de suite procédé à l'entretien du camion, sans dire un mot. Personne n'a remarqué que j'étais arrivée avec plus d'une heure de retard. Je n'en prendrai pas l'habitude, mais tout de même. ça a été facile. Aucun de mes patrons ni aucun de mes collègues ne l'a évoqué.Soulagée de ne pas m'être fait prendre en faute, mon niveau de stress n'a pas eu le temps de redescendre. L'alarme envahissait la caserne et ses alentours, un incendie s'était déclarée. J'ai embarqué dans le camion en l'espace d'un instant, j'étais sur le chemin du lieu ou le feu s'était déclaré.Il s'agissait d'un petit incendie résidentiel qui avait pris dans la cuisine. Je me suis précipitée avec mon extincteur pour l'éteindre avant qu'il ne prenne de l'ampleur.Ça m'a valut une promotion, j'en étais folle de joie, j'étais si fière. Je grimpais les échelons et on reconnaissait ma valeur dans mon travail.Après l'annonce de ma promotion, je suis rentrée à la caserne le cœur emplit de fierté.Je me suis laissée allée sur le trampoline avec Kyra. J'avais le cœur léger, on s'est beaucoup amusé. À certains moment, j'étais tordue de rire dans les airs, Kyra est vraiment très drôle, on ne peut qu'avoir du plaisir avec elle.Il faut vraiment que je l'invite à sortir un de ces soirs, je ne m'ennuierai pas avec elle.Il fut rapidement l'heure de rentrer chez moi, je n'avais pas vu l'après-midi passer. Le chauffeur se sentait d'humeur sociable aujourd'hui. Il me parla de lui, de son parcours. Il me dit qu'il aurait été pompier lui aussi s'il n'avait pas eu ce problème d'asthme, qu'on avait jamais voulu l'enroller comme pompier à cause de ce problème. J'en étais désolée pour lui, il en semblait particulièrement affecté. Il m'avoua que ce qui était le pire dans tout cela c'était le mépris de sa femme. Elle le diminuait et le traitait en inférieur dû à ce problème, elle aurait voulu qu'il soit fort, athlète. Elle le menaçait régulièrement, après 15 ans de mariage de le laisser tomber pour un jeune athlète et apollon. J'en fut d'autant plus attristée pour lui, il me semblait si gentil. Ça m'a échappée, je lui ai dis qu'il méritait mieux que cette femme cruelle et méprisante. Il en est resté interloqué, il n'a plus dit un seul mot du trajet, moi -même, je n'osais rien ajouter, excepté un merci juste avant que je ne refermes la portière un merci qu'il répéta plus d'une fois, je le lisais encore sur ses lèvres après avoir fait quelques pas et m'être retournée. Arrivée chez moi, j'ai pris une petite douche, je n'avais pas eu le temps de le faire ce matin, je me sentais sale, ce n'est pas dans mon habitude de sauter la douche du matin. Maintenant, je me sens mieux, je me sens propre. Puis, j'ai débuté la réparation la chaine hi-fi de Kyra, il y avait un moment qu'elle me l'avait demandé et je savais à quel point elle aimait avoir de la musique dans sa vie, je ne voulais pas l'en priver plus longtemps. Je n'ai pas terminé finalement, c'était plus long que je ne le pensais, la fatigue me rattrapait. J'ai mangé de la salade avant d'aller dormir. J'avais bien fait de la réfrigérer quand je l'ai fait, je n'ai pas eu besoin de cuisiner. Aussitôt installée dans mon lit, à la chaleur des couvertures, mes yeux se sont fermés et j'ai rejoint le monde des rêves. J'ai rêvé que je voyageais de par le monde, j'explorais des pyramides. Je me suis réveillée pendant la nuit et je me suis promis qu'un jour, j'allais exploré l'Égypte. C'est un lieu qui m'a toujours fascinée. Lun 18 Jan 2016 - 12:38 |
| | | missgabrielleExpert en Simologie Messages : 1952 Remerciements : 379 Date d'inscription : 29/10/2015 | Épisode 18 | | Épisode 18- Spoiler:
Ce matin je me suis levée pas tout à fait reposée mais j'avais la ferme intention de donner le meilleur de moi-même au travail.J'ai fait mon lit, c'est maman qui serait contente de voir ça. Je lui répétais qu'on avait pas besoin de le faire puisque de toute façon, il faut le défaire pour se coucher. Mon lit est dans le salon-cuisine, ça fait plus rangé quand je le fais, maintenant, je le fais beaucoup plus souvent. J'ai fais ma toilette du matin. J'ai mis l'eau tiède, je voulais qu'elle me secoue un peu. J'étais juste pour embarqué avec le chauffeur, je me suis dirigé vers le camion au pas de course.Arrivée à la caserne, j'ai discuté avec Kyra. Mon projet d'aller en Égypte est venue au fil de la discussion. Elle m'a dit qu'elle y était allée avant d'emménager à Milliardaireville. Elle avait entrepris de visiter toutes les régions afin de trouver celle qui lui ressemblais le plus. Elle avait entrepris ce voyage seule en Égypte et avait dû s'abriter dans une pyramide lors de bourrasques de vent qui avait entraîné ni plus ni moins qu'une tempête de sable. Découvrant une porte secrète, elle s'était laissée aller à poursuivre son chemin plus loin dans la pyramide et avait fait la rencontre d'une momie. Celle-ci l'avait pourchassé et avait maintes fois failli l'attraper. À au moins une reprise, la momie l'avait touchée et elle avait eu peur d'être infectée. Elle me dit que rien que d'y penser, elle en avait la chair de poule. Elle n'y retournerait pour rien au monde affirmait-elle et me déconseillait fortement d'y mettre les pieds.
Bien que ça m'effrayait un peu, j'avais toujours l'envie d'aller en Égypte et particulièrement de voir les pyramides. Je préférais avoir un peu peur que de rester chez moi à tout craindre et à m'ennuyer. Je voulais tout voir, tout faire, tout vivre, et ça en faisait partie. N'ayant pas pris de petit-déjeûner ce matin, mon ventre commençait à se faire entendre. J'ai décidé de faire des hot-dog sur le barbecue pour tout le monde.C'était bon, j'adore la cuisine sur le barbecue, une chance qu'il y a un barbecue à la caserne d'ailleurs, puisqu'il n'y a même pas de cuisinière. On se lasse rapidement de la soupe en boîte et des céréales. En début d'après-midi, j'ai fait quelques exercices de musculation. À la fin, je grimaçais de douleur. Tout à coup, l'alarme a retentit. Je me suis précipité sur les lieux de la catastrophe. C'était la climatisation de la salle de spectacle Hoi Polloi qui faisais défaut. Elle était déréglée, la température avait descendu drastiquement, fortement en dessous du point de congélation, de la glace avait commencé à se former. Il me fallait affronter le froid aussi dans mon travail, ça faisait un peu changement des incendies et des températures brûlantes. Après quelques heures, j'ai réussi à contrôler la climatisation et à tout remettre en ordre. La température est revenue à la normale. J'ai été impressionnée par la salle de spectacle grandiose qu'est la salle Hoi Polloi, j'espère pouvoir m'y produire un jour.En arrivant chez moi, j'étais trop exténuée pour faire quoi que ce soit. J'avais besoin d'une bonne nuit de sommeil.J'ai enfilée ma nuisette et me suis glissée sous les couvertures.Je tombai rapidement dans un sommeil profond. Mar 26 Jan 2016 - 12:35 |
| | | missgabrielleExpert en Simologie Messages : 1952 Remerciements : 379 Date d'inscription : 29/10/2015 | Épisode 19 | | Épisode 19- Spoiler:
Après avoir fait ma toilette, je me suis préparée de bonnes gaufres au beurre. J'étais prête pour une autre journée de boulot. Parfois, je dis bien parfois, je regrette le temps ou je pouvais passer mes journées à me prélasser, ou a flâner avec un groupe d'amis.
Le travail de pompier me prends beaucoup de mon temps, et ce n'est pas tout, il faut que j'entretienne la maison, paye les factures, cuisine. Je dois tout faire toute seule, je ne trouve plus le temps de m'amuser comme je le voudrais, prendre du bon temps, rencontrer des sims du sexe opposé.
J'aimerais avoir un petit animal de compagnie aussi, mais c'est beaucoup de travail que de s'occuper d'un animal. J'y pense à deux fois.Il m'est resté un peu de temps avant d'aller à la caserne. J'en ai profité pour nettoyer la maison, ce qui est fait ne reste plus à faire. Si seulement ça pouvait être vrai, le nettoyage est un éternel recommencement. Puis, fût le temps de me rendre au travail. Le chauffeur, le même qui me conduit tous les jours depuis que je travaille à la caserne semblait avoir retrouver son sourire. Il m'invita à parler de moi, me demanda si j'étais enfant unique.
Je lui parlai de mon frère Brad, je lui parlai de la façon dont il me protégeait étant plus jeune. J'étais sa jeune sœur et il était très présent pour moi. Autant il me protégeait à la façon d'un grand frère, autant il savait m'écouter comme une grande sœur aurait pu le faire, on discutait beaucoup, je lui racontais beaucoup de choses. Il était vraiment génial avec moi.
Je lui avouai que Brad me manquait ces temps-ci. J'aurais eu besoin de m'appuyer un peu sur lui à certains moments, mais j'étais aussi fière d'arriver à me débrouiller seule, sans son aide.
Je m'étais mis à parler de Brad sans m'arrêter, parlant de son goût pour la nature, de sa culture, de ses capacités athlétiques, j'avais parlé de lui jusqu'à notre arrivée à la caserne. Il ne me téléphonait pas souvent dailleurs...Arrivée à la caserne, j'ai fait l'entretien du camion. C'est devenu habituelle pour moi. Je m'y connais beaucoup mieux en mécanique maintenant.Puis, j'ai réparé l'alarme. Bientôt, les systèmes d'alarme incendie n'auront plus de secret pour moi. Même que je dois être devenue aussi bonne que Brad. J'avais à peine terminé les réparations que l'alarme s'est mise à sonner. J'étais tout prêt de l'alarme, quand elle s'est déclenchée, j'ai sursauté. Puis j'ai enfilé ma tenue ignifuge et j'ai embarqué dans le camion aussi vite que je l'ai pu.Il s'agissait d'une catastrophe au Petit Restaurant chez Hogan en Haute-Mer. Un troupeau de Lama avait envahi les lieux. Décidément, le travail de pompier est plus diversifié que je ne l'avais d'abord crût. À moi seule, j'ai réussi à rapidement évacuer ce troupeau de Lama et les propriétaires ont pu reprendre possession des lieux. J'ai trouvé ce petit restaurant charmant et j'avais bien envie de manger du poisson pour le dîner. Le service ayant repris, j'ai décidé de m'y attablée. Après tout, je ne me permettais pas de manger au restaurant bien souvent et après ma victoire sur les Lamas, je le méritais bien. Puis, je suis rentrée chez moi. J'étais complètement épuisée, j'avais de la difficulté à soutenir ma tête tellement la fatigue m'accablait.Le temps d'enfiler ma nuisette et je me glissais sous les couvertures, pour une nuit reposante, je l'espérais. Mar 2 Fév 2016 - 11:16 |
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